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Press Release27 novembre 2024Smart InfrastructureVélizy
Le manque de données des organisations constitue un défi majeur pour la décarbonation - Etude Siemens
Siemens Smart Infrastructure a publié un nouveau rapport intitulé "Digital Transformation, Sustainable Returns : La nouvelle voie de l'infrastructure".
Ce rapport, qui s'appuie sur une enquête menée auprès de 650 cadres supérieurs, explore la manière dont la numérisation peut être exploitée pour accélérer la décarbonation et transformer les infrastructures mondiales, en particulier dans les domaines de l'énergie, des bâtiments et des opérations industrielles. Les conclusions soulignent comment les infrastructures intelligentes permettent la décarbonation, l'efficacité des ressources et la collaboration pour atteindre les objectifs de durabilité. Cependant, bien que des progrès significatifs aient été réalisés ces dernières années, il existe encore un immense potentiel inexploité, en particulier en ce qui concerne les opérations basées sur les données.
Doris Birkhofer, Présidente de Siemens France et Directrice Générale de Siemens Smart Infrastructure, a déclaré : « Le rapport “Digital Transformation, Sustainable Returns : The New Pathway of Infrastructure” présenté aujourd’hui par Siemens souligne le rôle fondamental que joue la digitalisation dans la transformation durable des infrastructures, y compris les bâtiments, les systèmes énergétiques et l'industrie. Je tiens à remercier les 50 participants français à cette étude pour leurs réponses éclairantes, qui mettent en avant les défis qu’il reste à relever pour favoriser la transition des infrastructures françaises, comme l’accélération de la digitalisation ou l’intégration de l’intelligence artificielle au sein des entreprises. Autant d’enjeux sur lesquels Siemens France accompagne les entreprises françaises au quotidien ».
Ce rapport, qui s'appuie sur une enquête menée auprès de 650 cadres supérieurs, explore la manière dont la numérisation peut être exploitée pour accélérer la décarbonation et transformer les infrastructures mondiales, en particulier dans les domaines de l'énergie, des bâtiments et des opérations industrielles. Les conclusions soulignent comment les infrastructures intelligentes permettent la décarbonation, l'efficacité des ressources et la collaboration pour atteindre les objectifs de durabilité. Cependant, bien que des progrès significatifs aient été réalisés ces dernières années, il existe encore un immense potentiel inexploité, en particulier en ce qui concerne les opérations basées sur les données.
Doris Birkhofer, Présidente de Siemens France et Directrice Générale de Siemens Smart Infrastructure, a déclaré : « Le rapport “Digital Transformation, Sustainable Returns : The New Pathway of Infrastructure” présenté aujourd’hui par Siemens souligne le rôle fondamental que joue la digitalisation dans la transformation durable des infrastructures, y compris les bâtiments, les systèmes énergétiques et l'industrie. Je tiens à remercier les 50 participants français à cette étude pour leurs réponses éclairantes, qui mettent en avant les défis qu’il reste à relever pour favoriser la transition des infrastructures françaises, comme l’accélération de la digitalisation ou l’intégration de l’intelligence artificielle au sein des entreprises. Autant d’enjeux sur lesquels Siemens France accompagne les entreprises françaises au quotidien ».
La numérisation est un facteur clé de la décarbonation
Les principales conclusions portent sur la mesure dans laquelle la numérisation permet de créer des infrastructures plus durables, sur l'importance de disposer des bonnes données pour éclairer la prise de décision sur la voie du zéro émission, et sur les technologies qui, selon les dirigeants, devraient avoir l'impact positif le plus important.
Les plateformes numériques sont également considérées comme un avantage pour les entreprises, les répondants classant les cinq principaux avantages de leur adoption en termes d'évolutivité, d'efficacité en termes de temps et de coûts, de rapidité de mise en oeuvre, de fiabilité et d'interopérabilité.
"La numérisation est un puissant catalyseur de la durabilité, et la décarbonation de nos bâtiments, de nos réseaux et de nos infrastructures est à portée de main avec les solutions qui existent aujourd'hui. Par exemple, grâce à l'IdO qui fait baisser le coût des technologies des bâtiments intelligents, nous pouvons connecter les systèmes, réduire la consommation d'énergie et réaliser des économies massives", a déclaré Thomas Kiessling, directeur technique de Siemens Smart Infrastructure. "Pour accélérer la décarbonation et atteindre les objectifs climatiques critiques, nous devons exploiter les technologies numériques telles que l'IA et l'IoT de manière plus transformatrice. Les solutions existent, les économies sont évidentes - il n'y a aucune raison de ne pas agir maintenant."
Les technologies numériques jouent un rôle essentiel dans la réduction de l'empreinte carbone, l'optimisation de l'utilisation des ressources et l'intégration des sources renouvelables. 55 % des personnes interrogées ont déclaré que les technologies numériques ont un potentiel important ou massif pour faire progresser la décarbonation de leurs activités. Cependant, 45 % des répondants ont déclaré qu'ils ne voyaient pas ou peu ce potentiel, ce qui signifie que de nombreuses personnes n'apprécient peut-être pas pleinement les liens entre la numérisation et la décarbonation.
Les lacunes en matière de données constituent un défi majeur
Une infrastructure plus intelligente et connectée est essentielle à la gestion de l'énergie. Même si 54 % des personnes interrogées déclarent que leur organisation est mature ou avancée dans la gestion de ses opérations basée sur les données, l'étude révèle également que l'un des principaux obstacles aux efforts de décarbonation est la disponibilité des données. Une proportion considérable des personnes interrogées déclare ne pas disposer des données dont elles ont besoin dans des domaines essentiels à l'amélioration de la décarbonation et de l'efficacité des ressources : 44 % manquent de données sur les émissions, 46 % manquent de données sur les performances des usines et des machines, et 30 % manquent de données sur la consommation d'énergie.
Les personnes interrogées rencontrent également des obstacles dans l'exploitation des données, même lorsqu'elles sont disponibles, en raison des limitations dans les capacités de leur organisation à intégrer, gérer et analyser efficacement les données provenant de diverses sources. Les organisations reconnaissent la nécessité d'augmenter le volume, d'améliorer la qualité et d'accroître la disponibilité de leurs données si elles souhaitent prendre des décisions éclairées et obtenir de meilleurs résultats en matière d'efficacité et de durabilité.
L'IA pourrait être la clé de la transition énergétique
D'après les résultats de l'enquête, il est clair que l'IA est la technologie qui devrait avoir l'impact le plus positif sur la décarbonation et l'utilisation efficace des ressources : 33 % des personnes interrogées pensent que l'IA devrait avoir un impact positif sur la décarbonation et l'utilisation efficace des ressources.Les répondants pensent que l'IA aura le plus grand impact dans les trois prochaines années. Toutefois, pour l'instant, d'autres solutions contribuent de manière significative à la réduction des émissions, notamment l'IdO, les jumeaux numériques, les réseaux intelligents et les technologies de pointe.
Les principales conclusions portent sur la mesure dans laquelle la numérisation permet de créer des infrastructures plus durables, sur l'importance de disposer des bonnes données pour éclairer la prise de décision sur la voie du zéro émission, et sur les technologies qui, selon les dirigeants, devraient avoir l'impact positif le plus important.
Les plateformes numériques sont également considérées comme un avantage pour les entreprises, les répondants classant les cinq principaux avantages de leur adoption en termes d'évolutivité, d'efficacité en termes de temps et de coûts, de rapidité de mise en oeuvre, de fiabilité et d'interopérabilité.
"La numérisation est un puissant catalyseur de la durabilité, et la décarbonation de nos bâtiments, de nos réseaux et de nos infrastructures est à portée de main avec les solutions qui existent aujourd'hui. Par exemple, grâce à l'IdO qui fait baisser le coût des technologies des bâtiments intelligents, nous pouvons connecter les systèmes, réduire la consommation d'énergie et réaliser des économies massives", a déclaré Thomas Kiessling, directeur technique de Siemens Smart Infrastructure. "Pour accélérer la décarbonation et atteindre les objectifs climatiques critiques, nous devons exploiter les technologies numériques telles que l'IA et l'IoT de manière plus transformatrice. Les solutions existent, les économies sont évidentes - il n'y a aucune raison de ne pas agir maintenant."
Les technologies numériques jouent un rôle essentiel dans la réduction de l'empreinte carbone, l'optimisation de l'utilisation des ressources et l'intégration des sources renouvelables. 55 % des personnes interrogées ont déclaré que les technologies numériques ont un potentiel important ou massif pour faire progresser la décarbonation de leurs activités. Cependant, 45 % des répondants ont déclaré qu'ils ne voyaient pas ou peu ce potentiel, ce qui signifie que de nombreuses personnes n'apprécient peut-être pas pleinement les liens entre la numérisation et la décarbonation.
Les lacunes en matière de données constituent un défi majeur
Une infrastructure plus intelligente et connectée est essentielle à la gestion de l'énergie. Même si 54 % des personnes interrogées déclarent que leur organisation est mature ou avancée dans la gestion de ses opérations basée sur les données, l'étude révèle également que l'un des principaux obstacles aux efforts de décarbonation est la disponibilité des données. Une proportion considérable des personnes interrogées déclare ne pas disposer des données dont elles ont besoin dans des domaines essentiels à l'amélioration de la décarbonation et de l'efficacité des ressources : 44 % manquent de données sur les émissions, 46 % manquent de données sur les performances des usines et des machines, et 30 % manquent de données sur la consommation d'énergie.
Les personnes interrogées rencontrent également des obstacles dans l'exploitation des données, même lorsqu'elles sont disponibles, en raison des limitations dans les capacités de leur organisation à intégrer, gérer et analyser efficacement les données provenant de diverses sources. Les organisations reconnaissent la nécessité d'augmenter le volume, d'améliorer la qualité et d'accroître la disponibilité de leurs données si elles souhaitent prendre des décisions éclairées et obtenir de meilleurs résultats en matière d'efficacité et de durabilité.
L'IA pourrait être la clé de la transition énergétique
D'après les résultats de l'enquête, il est clair que l'IA est la technologie qui devrait avoir l'impact le plus positif sur la décarbonation et l'utilisation efficace des ressources : 33 % des personnes interrogées pensent que l'IA devrait avoir un impact positif sur la décarbonation et l'utilisation efficace des ressources.Les répondants pensent que l'IA aura le plus grand impact dans les trois prochaines années. Toutefois, pour l'instant, d'autres solutions contribuent de manière significative à la réduction des émissions, notamment l'IdO, les jumeaux numériques, les réseaux intelligents et les technologies de pointe.
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Siemens Smart Infrastructure (SI) développe des infrastructures intelligentes et évolutives pour le monde d’aujourd’hui et de demain. SI répond aux défis de l’urbanisation et du changement climatique en connectant les systèmes d’énergie, les bâtiments et les sites industriels grâce à un portefeuille complet et unique de produits, systèmes, solutions et services, de la production jusqu’à la consommation d’énergie. Dans un écosystème toujours plus digital, SI accompagne ses clients dans leur développement et participe au progrès de la société tout en contribuant à la protection de la planète. Siemens Smart Infrastructure, dont le siège est localisé à Zoug (Suisse) emploie environ 78 500 personnes dans le monde.